Chevalerie de la Garde
La Chevalerie de la Garde représente la première Maison d’Honneur de la Noblesse Orthodole, avant celle du Grand Magistère puis de la Cléricature Sacrale. Comme son nom le laisse entendre, la Chevalerie est fondée autour de l’idéal du service désintéressé à autrui, mais dans le cadre sociétal structuré tel que le prescrit l’Archimagisterium à cet effet (voir: Nouvelle gouvernance unifiée > Structures). Les différents étagements des responsabilités en rapport s’y articulent autour des trois grades traditionnels que sont ceux de « Chevalier », « d’Officier », et de « Commandeur », lesquels représentent aussi les trois premiers rangs de la nouvelle Noblesse. L’ensemble des attributions de la Chevalerie de la Garde se décline en différents Magistères qui ont la responsabilité du maintien de l’ordre et de la paix, celle d’apporter l’assistance requise à quiconque en aurait besoin en quelque circonstance que ce soit, comme de permettre à quiconque d’avoir accès à celle d’un autre Magistère, de prendre soin des éventuels « victimes du sort » ou des orphelins, afin de leur donner une éducation, un enseignement, et un entourage exemplaire. Chacun en ayant besoin pourra être pris en relai afin de lui remettre systématiquement le pied à l’étrier en cas de quelque problème sérieux générant une situation de désÅ“uvrement partiel, dans la juste mesure des responsabilités propres à chacun concerné, alors qu’en parallèle, les éventuelles tentatives d’abus manifestes seront sérieusement réprimées.
Être initié·e « Chevalier » c’est dédier sa vie au bienveillant service d’autrui, du peuple, de sa Province d’élection, comme au sens large et par esprit d’idéal, au reste du Royaume et aux valeurs de l’Apolytocratie par les moyens variés mais balisés qui lui sont offerts. Les agents encore en service au moment du changement de civilisation, desdites « forces de l’ordre », de la « maréchaussée », et des armées, seront de fait intégrés à la Chevalerie de la Garde dans les quelques conditions suivantes:
- S’ils le souhaitent.
- S’ils sont à la hauteur de l’engagement attendu de la part d’un tel Chevalier, Officier, ou Commandeur.
- S’ils sont capables d’assumer au quotidien, par des actes non seulement déterminés par leur devoir mais aussi de leur propre fait, leur initiation à l’élévation aux rangs de la Noblesse Orthodole, les rendant exemplairement inspirants pour tous, et faisant donc montre d’une probité sans faille.
Tous les autres en seront exclus et partiellement remplacés par des individus en ayant la dimension intérieure. La Chevalerie de la Garde est la Maison d’Honneur emblématique de l’exemple à donner au quotidien des plus hautes vertus de la nature humaine, et tous les défenseurs sincères de la justice, de la paix, de l’aide à autrui en ayant besoin, ne peuvent que s’accomplir dans son cadre d’évolution, en parallèle d’une vie au sein d’une société où la misère humaine, le désÅ“uvrement, et l’injustice flagrante auront définitivement disparu.
A noter que toutes les déclinaisons de la Chevalerie de la Garde sont placées sous l’autorité directe de la Pracandhasenamukha, laquelle assure le contrôle de l’équité de son modèle organisationnel, tant interne qu’externe, autant que la probité, une fois encore exemplaire, de ses représentants, tant devant le peuple que devant la Hiérodarchie.