Moyens
Situation géopolitique internationale catastrophique
L’Histoire peut témoigner que tous les régimes ont fini par être remplacés par d’autres à l’occasion de l’effondrement des précédents. Rien ne peut succéder à quelque chose de véritablement florissant. Les changements s’opèrent lorsque l’Histoire traverse des phases de chaos, lorsque la légitimité des régimes précédents s’est elle-même effondrée, et lorsque la conscience collective de l’Humanité s’était apprêtée à assumer à recevoir dans son champ de réalité, l’éclosion d’une situation nouvelle, et à l’accueillir favorablement, qu’elle se soit révélée bonne ou mauvaise en définitive. Dans le cas qui nous occupe, la planète entière est concernée, et la situation ne pourrait être plus catastrophique en termes de perspectives d’avenir, d’autant que tous aujourd’hui, peu ou prou, peuvent ressentir le passage vers une autre forme de civilisation, même si l’ancienne refuse de mourir.
Sa fin définitive est inévitable et sans appel. Elle ne peut pas ne pas se produire, et pour parer à un effet de résistance naturelle face à cette mort annoncée, l’ensemble des forces (considérables) de l’Archimagisterium accompagne ce mouvement, précipitant irréversiblement la clôture du monde d’avant, pour ouvrir l’accès au monde suivant qui est déjà présent, structuré, et donc agissant. Les choses ne peuvent se produire par l’effet d’un claquement de doigts, comme par enchantement. La cohérence du mental, moulé dans le principe de réalité, requiert que pour accepter logiquement une situation comme étant réelle, il lui faille un déroulement également logique en termes de causes et de conséquences, selon un scénario crédible. Le principe de réalité est ainsi fait et les « miracles » à l’eau de rose ne sont bons pour personne.


Sans l'état désastreux dans lequel les prédateurs de l'Humanité nous ont laissé ce monde dans l'espoir de le rendre à tout égard irrécupérable, jamais il ne nous aurait été possible de le reprendre en main, et de parvenir si aisément, en outre, à leur élimination drastique. C'est tout le cynisme de la situation: vaincre les ennemis de l'Humanité n'aura été rendu possible que grâce à l'exceptionnelle férocité dont ils auront été capables!
ILADILYAS-MOUATTIB
Point sur la crédibilité de la menace nucléaire
Cette menace est bien réelle. La Pracandhasenamukha l’envisage depuis 2018 comme issue possible de l’ancien paradigme. Ce dernier ayant inéluctablement déjà disparu malgré les rôles encore joués pour les besoins de la cause par les uns et les autres sur la scène internationale, tantôt de gré (très rarement), tantôt de force sous la pression et sous la menace, qu’en est-il des risques réels d’une telle issue?
Quelle que soit la crédibilité de la menace, cette dernière restera au rang de menace. Quand bien même une ogive devrait-elle être lancée, notamment en fonction du degré de résistance de la conscience collective face à l’effective réalité de cette même menace, les conséquences liées à une telle initiative destructrice seraient jugulées par les mêmes moyens, nettement augmentés, qui ont permis le désarmement de certains navires convoyant du matériel nucléaire dans le Détroit d’Ormuz en 2017, ou la dénucléarisation de la zone entourant la centrale de Tchernobyl, ou celle de Fukushima (comme l’attestait en son temps Benjamin Fulford, un compteur Geiger à la main), ou encore la subtilisation de matériel fissile militaire, dont l’enlèvement avait été attribué, par une certaine presse, à une potentielle intervention extraterrestre. En clair, si la menace nucléaire devait être mise à exécution pour une raison stratégique très précise, ce ne serait, sans autres conséquences, que dans le seul but d’obtenir l’effet psychologique qui en serait alors attendu: faire monter en pression la certitude d’une certaine forme d’inéluctable « fin du monde » afin de favoriser l’accueil du suivant.
La position de l’Archimagisterium est d’une fermeté implacable à ce sujet: l’usage de l’énergie nucléaire, à tout égard et sous quelque forme que ce soit (hormis, et seulement à titre temporaire, dans certains contextes médicaux placés sous extrême surveillance à cet égard), sera définitivement abrogée du Royaume de Terremère-Gaïa, et ce à titre absolument inconditionnel, quoi qu’il arrive, quoi qu’il en coûte. La planète sera entièrement dénucléarisée et les centrales démantelées une à une, sans aucun risque pour la Nature, grâce à des méthodes dont il ne convient pas encore de parler publiquement, mais qui ne laissent aucun doute possible en termes d’efficacité radicale, comme à tant d’autres égards. Hormis pour les centrales nucléaires encore en activité, l’ensemble des ressources de matériel fissile d’exploitation militaire a déjà été éradiqué aux trois quarts, le reste étant sous contrôle absolu de la Pracandhasenamukha avant finalisation de la procédure de ladite éradication, envisagée déjà de longue date, et donc en cours d’exécution actuellement.
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