Abolition des préceptes du Codex Alimentarius et retour à une alimentation saine

Le « Codex Alimentarius », créé en 1962 par la Commission Trilatérale entre autres, à l’initiative de David Rockefeller en session du Groupe de Bilderberg, est un programme commun placé sous tutelle de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (et non créé par elle comme ça l’est souvent avancé) et de l’Organisation mondiale de la santé. Le C.A. consiste en un recueil de normes, codes d’usages, directives et autres recommandations relatifs à la production et à la transformation agroalimentaires qui sont censés avoir pour objet la sécurité sanitaire des aliments, c’est-à-dire, officiellement la protection des consommateurs et des travailleurs des filières alimentaires, et la préservation de l’environnement.

Il est chargé d’élaborer des normes alimentaires, des définitions et des critères applicables aux aliments, de contribuer à leur harmonisation et donc, notamment, de faciliter les échanges internationaux.

Il joue un rôle prépondérant dans la normalisation alimentaire mondiale et a été reconnu à ce titre par les accords de l’Organisation Mondiale du Commerce en 1994, sous réserve que ses prescriptions n’entravent pas les échanges si elles ne sont pas suffisamment scientifiquement étayées.

Ce code de l’alimentation a imposé à la planète entière une alimentation malsaine, déséquilibrée, commercialement profitable aux gros producteurs ralliés aux instances détenues par les prédateurs de l’Humanité, mais sanitairement désastreuse, notamment à cause de l’introduction de la chimie dans les productions alimentaires, incluant additifs artificiels ayant une incidence dangereuse sur le comportement des consommateurs, si ce n’est des agents biochimiques créés de toutes pièces en laboratoires, et finalement la transformation génétique et la stérilisation des végétaux, sans parler d’un mode de gestion complètement chaotique des ressources naturelles. Pour accompagner ce mouvement, des médecins à la solde du pouvoir ont « inventé » une maladie mentale liée à la soi-disant obsession visant à vouloir absolument se nourrir sainement: l’orthorexie.

Sans entrer dans davantage de détails, l’une des priorités à observer à titre inconditionnel, est la rectification de la salubrité alimentaire, autant que celle des modes de production respectueux de la nature et de ses consciences. L’un des tous premiers facteurs de santé, avec la nature des pensées et des émotions entretenues, lesquelles influent sur les fonctions métaboliques de l’organisme autant que sur le gène, c’est la nourriture. Un vieil adage dit que l’on devient ce que l’on mange. Une civilisation pérenne se doit donc de tout sacrifier pour permettre aux individus la constituant, un accès parfaitement sain à l’eau et à la nourriture envers lesquelles l’attention de chacun doit être portée avec bienveillance, sur l’intégralité de la chaîne de production et de manutention, permettant à tout un chacun de pouvoir se nourrir avec confiance, et ainsi absorber en lui un peu de la probité et de la salubrité du monde qu’il habite, si ce n’est sa naturelle capacité de régénération.

Même l’alimentation dite biologique (labélisée comme telle), comprenait une distinction entre la consommation publique, et celle qui était réservée à une frange privilégiée de la population, engagée dans le service de la cause du système. L’abolition de toute distinction entre les uns et les autres, les « riches » et les « pauvres » (quand bien même ce clivage va perdre tout son sens), les hommes et les femmes, les célébrités et les anonymes, les blancs, les jaunes, les noirs, les rouges, est un impératif absolu! Si l’un peut avoir quelque chose, alors tous pourront l’avoir, hormis ce qui est propre à une région du monde et dont les locaux devront pouvoir bénéficier en priorité, où seuls les excédents pourront faire l’objet d’une exportation.

Les habitudes alimentaires vont devoir changer drastiquement, mais tous auront invariablement accès au meilleur de ce que pourra produire notre planète, notre Royaume, néanmoins dans le respect des consciences de la nature qui permettront que ce meilleur soit produit pour nous.

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