Nouveau Paradigme Archimagistéral
Nul ne peut envisager un nouveau paradigme s'il n'a pas entièrement quitté celui en lequel il vit encore, comme nul ne peut aisément se replonger facilement dans les souvenirs du précédent lorsqu'il a déjà intégré le suivant.
Le Hiérodarque
Seul un changement de la représentation que nous avons de nous-mêmes et du monde -un changement de paradigme- peut nous faire revenir dans le sillon et retrouver le bon sens. C'est ce que nous enseignent toutes les sagesses et les spiritualités de l'humanité: (...) nous rappeler que le mot "humain" trouve sa racine dans le latin humus qui veut dire "terre"; cette terre où nous sommes nés, à laquelle nous appartenons et qui nous constitue. Cet humus qui est aussi la racine du mot "humilité". Il est temps de se rappeler que nous ne sommes vraiment humains que si nous sommes humbles.
Boris Cyrulnik
Mission de l'Archimagisterium
En tant que mode de gouvernance calibré sur l’ouverture de la conscience et les progrès à réaliser sur tous les plans par la nature humaine, l’Archimagisterium a prioritairement pour mission fondamentale de déployer tous ses efforts dans le sens de l’intégration en tout un chacun, de la conscience de l’incidence majeure que représente l’accroissement de l’esprit d’unité. De cette disposition d’esprit particulière absolument propre au paradigme Archimagistéral, découlent solidarité, force copartagée, esprit d’initiative et audace constructive qu’il revient aussi à l’Archimagisterium de soutenir et d’encourager par tous les moyens afin de stimuler l’Humanité hors de ses limitations actuelles. Un tel esprit collectif ne peut, en définitive, qu’être le vecteur de l’intégration, de la part de tout un chacun, d’une conscience collective beaucoup plus vaste que celle d’origine, dont tous profiteront à la mesure de leur propre sentiment d’appartenance à ce que tout un chacun aura cocréé à sa mesure, sans chercher à abuser de quiconque pour en tirer davantage profit qu’autrui à son détriment, comme l’Humanité aura été enseignée à le faire durant le temps particulièrement long du règne de ses prédateurs.
Encadrer la saine, rationnelle, équitable et bienveillante autant que respectueuse administration des ressources naturelles et des différentes populations, fait aussi partie intégrante des fonctions attribuées à l’Archimagisterium, afin de renforcer le sentiment de cohésion et ainsi avancer ensemble vers le destin de l’accomplissement du genre humain, enfin réconcilié avec lui-même, main dans la main, front contre front, cœur contre cœur, hors de l’incitation à la méfiance, la haine et la confrontation fratricide, induite par la politique d’exclusion perpétuelle des anciennes institutions politiques.
Seule dans cet état d’esprit, la population de ce monde alors enfin unifiée, enfin consciente de sa propre et nécessaire implication dans la concrétisation de son avenir désormais replacé entre ses propres mains, pourra progresser vers un avenir plus radieux que ce que quiconque aurait jamais pu imaginer.
Point sur l'ancien paradigme et Apolytocratie Archimagistérale
Article publié en substance sur Medium.com.
Pourquoi la démocratie ne peut-elle pas fonctionner?
Faisons le point sur la situation planétaire, au sens civilisationnel du terme. Dans un premier temps, il est très important de partir d’un postulat parfaitement évident qu’il revient à chacun d’admettre, même et surtout de la part de celles et ceux qui souhaitent plus que tout « passer à autre chose », et que les « officiels » prennent pour un scandale innommable de pourtant vouloir tant soit peu remettre en question. Alors soyons clairs:
La démocratie n’existe pas!
(Pour paraphraser un slogan publicitaire célèbre: la démocratie est un mythe, son illusion, une réalité!)
La démocratie n’a jamais existé, même pas du temps de l’Antiquité grecque qui est censée en avoir « inventé » les principes pourtant avant-gardistes, ni n’existera JAMAIS. Il y a une raison très simple à cela : ce système NE peut PAS fonctionner. Il représente une simple utopie parmi beaucoup d’autres (parfois considérées comme telles alors qu’elles ne le seraient pas si les gens acceptaient l’idée qu’il puisse exister un autre système viable que celui de la… « démocratie »). La démocratie est une excuse avancée par ce qui s’est révélé être la « caste dirigeante » du monde, afin de mettre en avant l’illusion d’un mieux-être par rapport à une dictature, dans la mesure où toutes celles qui ont été mises en place par les diverses autres « castes dirigeantes » du passé, ont fini par échouer, ou devoir être remplacées. Il leur fallait donc trouver un système tout aussi dictatorial, mais qui n’en ait pas eu l’air, serinant à l’infini que la démocratie était la solution ultime à tout jamais, jusqu’à en « laver le cerveau » (terme inventé par la CIA) de la Terre entière, jusqu’à ce que ceux qui vivaient sous ce régime finissent par le croire effectivement démocratique au sens premier du terme, et que ceux qui n’y vivaient pas encore, y aspirent éventuellement. D’ailleurs, les pays qui mettent officiellement ce terme ou d’autres approchants en avant dans le cadre de leur appellation nationale respective, sont ceux qui l’ont été le moins, comme l’Allemagne communiste (la République Démocratique d’Allemagne), ou la Chine communiste (République Populaire de Chine), etc.
Pourquoi la démocratie est-elle une illusion montée de toutes pièces?
La démocratie, telle qu’elle est présentée, consiste à donner le pouvoir au peuple d’élire ses représentants afin qu’ils défendent ses intérêts en son nom. Elle est donc fondée sur le principe électif (en théorie du moins car aucun de ceux qui tirent réellement les ficelles du pouvoir primal n’a jamais été élu par quiconque).
Pour se faire élire, les candidats à l’élection en rapport sont prêts à tout et n’importe quoi pour acquérir ce pouvoir. Ils font illusion afin de donner d’eux-mêmes une image d’intégrité et de confiance (plus ou moins), se rendant par là-même séducteurs, mais en réalité, en arrière-plan, la soif du pouvoir est inextinguible. Elle corrompt, et elle rend fou.
Quiconque sera soumis à une forme de pouvoir en voudra toujours davantage et sera prêt à tout pour l’obtenir; le « pouvoir » (au moins à un niveau politique, si modeste soit-il, ou économique s’il est assez important) étant indissociable du sexe et de l’argent, toujours. Malheureusement ceux qui échappent à cette règle par la réelle force de leur intégrité, ne résistent pas longtemps à la malveillance des autres (c’est généralement le chantage qui est exercé à leur encontre, s’appuyant sur des « preuves », réelles ou créées de toutes pièces, nul n’étant exempt d’erreurs ou de faiblesses au cours de son existence). Ce système démocratique, pensé pour exposer les bienveillants à la malhonnêteté et à la duplicité des malveillants, a été pensé en faveur des gens sans scrupules et avides de pouvoir, par des gens plus malveillants encore, plus avides encore de pouvoir, considérant les premiers comme leurs esclaves. Ce système-là n’intègre aucune forme de balise évitant les dérives. Plus encore, il prône des règles qui ne peuvent être suivies, pénalisant ceux qui tentent de le faire, et qui permettent l’ascension de ceux qui savent comment ne pas les suivre. Il n’intègre tellement pas de possibilités de se prémunir des dérives qu’on ne peut que finir par en conclure qu’il a été pensé pour les permettre (toujours sans le laisser paraître) par des individus assez sournois et intelligents, prêts à se compromettre suffisamment pour acquérir le pouvoir et l’argent (et le sexe). Ce monde est le résultat d’un permanent double discours, double jeu. Il est le fruit d’une « Justice » à double vitesse, double, ou triple ou encore davantage, où l’art subtil de la duplicité et la seule qui permette de survivre, sans que ce ne soit pourtant jamais avoué par quiconque.
Mais surtout, une démocratie au sens le plus noble du terme est impossible parce que les individus, collectivement, sont friands d’illusions et de belles paroles, et sont aisément corruptibles. La plupart des gens sont prêts à accorder de fait leur pleine confiance à ceux qui leur disent ce qu’ils ont envie d’entendre. Le premier beau-parleur venu mettrait à bas cette « démocratie » en moins de temps qu’il n’en faudrait pour qu’expirent les premiers mandats électifs, pour en faire aussi rapidement un système mafieux, tel que ce monde l’aura connu jusque-là, tout en lui conservant son apparence vertueuse pour ne pas effrayer les foules. Un tel système, conçu pour les gens au discernement quasiment nul, ne pourrait pas ne pas attirer les plus talentueux illusionnistes de la réalité parmi les plus avides.
Parce que, les menteurs et les pervers… ça existe ! Et là où ils peuvent aisément et fructueusement (à leur propre bénéfice) exercer leurs talents, notamment à une position de pouvoir, là ils se trouvent en grande concentration, qu’il s’agisse de politique ou de religion notamment, parmi les deux sujets les plus à même de diviser pour mieux régner, et dans le contexte desquels il est le plus aisé d’exercer une forme d’influence de l’esprit, en fonction de la crédulité de la population concernée (les mondes de la politique et de la religion étant particulièrement similaires malgré les apparences).
Le point fondamentalement faible de la (vraie) démocratie, c’est la corruptibilité de l’Humanité. Lorsque l’Humanité n’aura plus en elle la moindre trace possible de corruptibilité, quel qu’en sera le prix, alors la démocratie pourra exister et fonctionner.
Dans quel super-régime politique avons-nous alors vécu?
Quel que soit son régime politique (socialiste, démocrate, communiste, républicain, royauté constitutionnelle etc.), la planète entière n’était gouvernée que par un seul « super-régime », déterminant la tournure sociétale de tous les autres.
S’il n’y a jamais eu de « Gouvernement Mondial » déclaré à titre officiel, force est de constater que des règles identiques pour tous se sont bel et bien appliquées sur la Terre entière (à quelques rarissimes exceptions près, nous en reparlerons plus loin). Ces règles se déclinent différemment en fonction des régimes politiques instaurés dans tel ou autre pays, afin de donner l’illusion d’une autonomie de la part de chaque autorité politique nationale; illusion de moins en moins crédible d’ailleurs pour préparer les foules à l’avènement d’un « Nouvel Ordre Mondial » qui fut mis en échec avant sa possible éclosion.
Il n’est un secret pour personne que ce qui faisait loi en ce monde, c’est le pouvoir de l’argent. Si nous prenons pour exemple le cas relativement célèbre du couple Bill et Melinda Gates, nous constatons que leur fortune (personnelle et couplée à celle de leur tristement célèbre fondation « philanthropique ») dépassait la richesse de l’ensemble du continent africain, au sein duquel le couple milliardaire faisait absolument ce qu’il lui plaisait, d’une part sans avoir besoin de l’autorisation de quiconque pour agir en quoi que ce soit, mais en outre auquel était déroulé le tapis rouge par les autorités nationales officielles, largement rémunérées pour les y laisser agir à leur guise.
Ceci n’est qu’un exemple parmi d’autres, et même le couple Gates ne représentait qu’un pion mineur sur l’échiquier mondial des vrais superpuissants. Voir ce qu’en dit l’épistémologue indienne et Docteur en Philosophie des Sciences, Vandana Shiva, à leur sujet notamment, en termes de « philanthrocapitalisme ».
Chacun sait que le magazine Forbes recense chaque année les plus grosses fortunes de la planète. En son temps on a dit de Bill Gates qu’il était l’homme le plus riche du monde. En l’occurrence ça n’a jamais été vrai (ça non plus, comme tout ce qui est officiel ou presque). Parmi les plus puissantes des très grandes familles les plus riches, dont les Rockefeller, Windsor, Freeman, Schwartz devenus « Soros », Kennedy/Cavendish, Al Saoud, Mars (ayant donné leur nom de famille aux barres chocolatées au caramel), la famille Rothschild représente un cas très à part. En effet, leur fortune ne figure jamais dans le recensement « Forbes ». Nous parlons ici de la fortune de la dynastie, et non pas de l’une ou plusieurs de plus d’une centaine d’entreprises leur appartenant ou de milliers desquelles ils sont actionnaires. Pourquoi ne sont-ils pas ainsi recensés par le magazine Forbes? Parce que leur fortune ne peut être estimée, tout simplement. Et pourquoi ne le peut-elle pas? Parce ce que cette famille n’est pas fortunée parce qu’elle possède une fortune, mais parce qu’elle est l’argent monétaire du monde lui-même !
En l’occurrence, le régime actuel de la planète Terre n’est pas majoritairement la démocratie. Le régime politique mondial, unique et sans partage, est une lobbycratie sous dictature bancaire.
Les Instruments du pouvoir
Tous les emprunts bancaires au monde, qu’ils soient personnels, commerciaux, ou institutionnels (ceux contractés par les pays eux-mêmes), le sont sur les marchés privés, donc contractés via les banques privées. Chacun de ces emprunts génère une écriture correspondant à la création ex-nihilo du montant emprunté, alors que les banques permettant ces emprunts sont elles-mêmes contraintes d’emprunter aux banques centrales de leurs pays respectifs, montants créés à partir de rien mais devant être malgré tout remboursés, intérêts compris bien sûr, et dont le montant du remboursement doit être puisé dans l’ensemble des ressources financières disponibles du système, dans le segment économique auquel l’emprunteur a accès (les ressources propres du particulier, généralement son salaire, les fonds commerciaux des entreprises, ou les impôts ou placements institutionnels des Etats, donc très souvent dans ce cas à partir de la poche des contribuables). Cet argent remboursé finit par retourner à la banque, laquelle doit annuler le montant remboursé, sauf les intérêts qui s’y ajoutent. Elle « détruit » donc cet argent de la même manière qu’il a été créé. Néanmoins ce n’est pas la banque elle-même qui effectue, seule, cette opération comptable, laquelle n’a finalement aucun pouvoir et n’est à ce titre qu’une entreprise comme les autres, même si son secteur d’activité est la finance. Cette opération doit être effectuée en cohésion avec la banque centrale à laquelle elle est liée, laquelle « n’appartient » plus au pays sur le sol duquel elle se trouve puisque plus aucun pays ne peut s’emprunter à lui-même à taux zéro comme c’était le cas par le passé. Les banques centrales appartiennent à la famille Rothschild en tant qu’actionnaire majoritaire de toutes les banques centrales du monde. En réalité, c’est la banque centrale qui annule cette opération et c’est une cellule très spéciale de cette banque qui effectue cette opération particulière, permettant que cet argent « annulé » sorte du circuit monétaire à l’échelle globale.
En revanche, cette annulation comptable à laquelle seule la banque centrale est autorisée, n’est techniquement pas la fin de la procédure. Officiellement elle l’est. Mais factuellement, ce n’est pas le cas. En effet chaque remboursement annulant tout ou partie d’une dette, suite à sa sortie du circuit financier officiel, est crédité sur un compte bancaire particulier auquel seule la famille Rothschild a accès, mais non-comptabilisé dans la somme de la masse monétaire mondiale, donc non-imposable puisque cet argent, officiellement, n’existe plus. Un compte bancaire non-connecté au réseau financier mondial en entrée, mais bel et pourtant bien connecté au même réseau en sortie, malgré tout, réinjectant cet argent dans le circuit à la moindre dépense de la famille, gonflant ainsi de manière artificielle la masse monétaire à ce stade; gonflement qui justifie entièrement la variation des taux d’intérêts directeurs afin de maintenir l’équilibre.
Ainsi, depuis que les banques existent, surtout depuis le XVIIIe siècle, et plus particulièrement depuis que la famille Anschel (Mayer Anschel en tête), germanisée en Amschel (le patriarche étant de même devenu Meyer Amschel), a finalement décidé de s’appeler Rothschild, et a pénétré le système bancaire en place pour en prendre le contrôle intégral une seule génération plus tard, tous les remboursements de tous les emprunts du monde étaient passés dans la poche de la famille. Ainsi, la planète entière était financièrement soumise au pouvoir de l’argent des Rothschild. Et ce n’est là qu’un exemple, une fois encore, car d’autres fortunes indécentes, obligatoirement satellisées autour de la famille Rothschild, dictent leurs lois sans aucun contrôle de la part de quiconque appartenant au « bas peuple »; lois que nul en ce monde, ni homme, ni femme, ni entreprise, ni Etat, ne saurait leur contester faute d’avoir contre l’imprudent qui s’y essaierait, toute la puissance financière et toute l’influence de la famille, et qui plus est associées à celles des autres qui leur sont soumises, supérieure à la puissance et à l’influence de tous les pays du monde réunis, forcément.
Bien sûr, la presse officielle a toujours farouchement nié cette évidence, alors que cette presse là était inconditionnellement aux ordres du pouvoir financier comme le déclarait lui-même David Rockefeller, du moins pour les USA, lorsqu’il avouait aussi dans son livre consacré à ses mémoires qu’il complotait avec fierté contre les intérêts des Etats-Unis d’Amérique (nous rappelons tout de même que tous les groupes de presse de la planète étaient détenus, en dernier, par uniquement cinq personnes qui contrôlent à elles seules la presse mondiale). Les banques centrales, à l’image de la Federal Reserve aux Etats-Unis (voir image ci-dessus), sa très emblématique banque centrale lorsque l’on connaît son histoire et celle de la monnaie Greenback, ayant eu cours durant la guerre de sécession qui d’ailleurs en était le réel enjeu, sont considérées comme étant des institutions publiques, ce qui est absolument faux, sinon pourquoi les Rothschild entre autres figureraient-ils parmi les actionnaires, statut réservé aux institutions privées, et pourquoi les Etats seraient-ils interdits de s’emprunter à eux-mêmes comme c’était le cas généralement avant les années 1970? Et nous ne parlons pas bien sûr de la banque privée Edmond de Rothschild, laquelle est une banque effectivement privée; la presse faisant volontairement l’amalgame entre la notion de « banque centrale » et cette banque appartenant à la famille. Mais au-delà des banques centrales, il y a celle qui les dirige toutes, la seule banque au monde à n’être soumise à AUCUNE LOI d’aucune juridiction: ladite « Banque Centrale des Banques Centrales », la « Banque des Règlements Internationaux » (ci-contre), ou « Bank for the International Settlements« , la B.I.S., à Bâle en Suisse.
La presse s’est régulièrement acharnée à établir des postulats visant à démontrer l’absurdité de cette idée reçue que les banques centrales appartiendraient aux Rothschild.
Les quelques rares pays qui depuis toujours n’avaient pas de banque centrale « Rothschild » sur leur territoire à n’être pas soumise au diktat de la famille, ont été comme par hasard considérés comme ayant ou ayant eu à leur tête de grands et dangereux dictateurs, et dont les pays ont été en guerre avec les Etats-Unis, l’UE, ou l’OTAN, venant apporter au peuple de ces pays… la démocratie. Il ne reste plus aujourd’hui que quelques très rares pays qui en soient dépourvus. C’est le cas de la Russie, laquelle, en revanche, s’est assez récemment débarrassée de sa banque centrale « Rothschild ». C’est aussi le seul pays à avoir les moyens de tenir tête au bras armé de l’OTAN: les USA. Le plus emblématique des pays a encore refuser une Banque Centrale Rothschild, est la Syrie (gouvernée, bien sûr, par un grand « dictateur »). Il y avait il y a encore peu, l’Irak, lequel est tombé (gouverné par un grand dictateur, ce qui, dans ce cas, n’était pas forcément faux), et la Lybie, elle aussi tombée après avoir voulu libérer l’Afrique de la dictature de l’OTAN, et après que son leader ait financé la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy comme chacun le sait désormais, ou du moins est censé le savoir, lequel, en contrepartie, avait promis au Colonel El Kadafi, lui aussi « grand dictateur » devant l’Eternel, sans doute l’homme le plus intègre de de la scène politique de la planète, de financer (et autoriser) la construction du « Temple Pyramide » en France.
A seul titre d’exemples emblématiques de toute-puissance, créés à la faveur d’une démocratie et grâce à elle, nous citerons l’industrie pharmaceutique et celle de l’armement. Comme n’importe quelle société appartenant à n’importe quel secteur économique, ces industries ont pour objectif de faire de l’argent. A cet effet, il existe deux méthodes. La première est l’exploitation d’un marché (disponible au sein de la concurrence se partageant ses parts). C’est la seule méthode à laquelle ait accès la plupart des petites et moyennes entreprises ou industries. La seconde repose sur le fait de « susciter le marché ». Ce qui est entendu sous cette appellation technique et sémantiquement très neutre, c’est le fait de créer un besoin de toutes pièces, en en attendant une réponse, justifiant le marché. Cette technique est retorse parce que là où il n’existe pas de besoins, le pouvoir de l’argent disponible à ces entreprises et industries va pouvoir créer un événement qui va artificiellement générer une situation problématique dont la réponse providentielle sera la mise en marché de la solution, représentant donc l’appel du besoin ainsi discrètement suscité (d’où le fait de « susciter le marché »). Pour faire simple, les grands groupes économiques, de manière discrète, bien sûr, pour éviter les polémiques et les mouvements de révoltes populaires, ou simplement la nuisance que le fait d’opérer au grand jour pourrait causer à l’image d’une démocratie de carnaval, est de payer des hommes ou des femmes de pouvoirs, d’autres entreprises, des Etats même, pour causer discrètement un tort quelconque, avec un faux responsable tout désigné, qu’il soit une personnalité physique ou morale mais qui soit impossible à atteindre, afin de vendre la solution qui va rapporter des milliards.
Exemples :
La grippe dite « espagnole », ayant permis aux Rockefeller d’empocher une fortune considérable et à l’entreprise Baxter de se lancer sur le marché mondial des produits pharmaceutiques et ustensiles de santé (poches de sang Baxter par exemple, encore en usage aujourd’hui).
Les guerres artificiellement entretenues pour vendre continuellement les armes nécessaires aux deux camps.
La maladie, créée par les désordres causés entre autres par les traitements thérapeutiques allopathiques, dont notamment la mise en application de la politique vaccinale mondiale promue par l’OMS et de plus en plus létale, nécessitant par défaut la prise d’autres médicaments.
Toutes les opérations menées par le système ont reposé sur ce seul et unique principe: créer le problème pour vendre la solution, dans un seul et unique objectif, celui de la rentabilité, ayant octroyé, du moins renforcé, ou consolidé l’incommensurable, irrépressible et fascinant pouvoir de l’argent, conférant le POUVOIR tout court, et souvent sans avoir même besoin de le dépenser!
Les possibles opposants à ce système ont existé, mais rares furent-ils puisque la majorité des individus ont préféré croire en le déni de la malveillance native du système. Le contrôle de ce même système était donc généralement assuré en conservant les peuples dans l’illusion et l’indolence face au théâtre des événements de plus en plus catastrophiques qui se sont déroulés devant leurs yeux aveugles. Ces opposants étaient alors soit menacés, soit soudoyés où leur était alors proposé une part infime du gâteau global mais correspondant à une fortune selon leur propre vision du monde. Soit ils acceptaient et entraient dans le rang, soit ils étaient suicidés, ou mouraient d’une crise cardiaque, quel que soit leur âge et leur état de santé (les balles et les snipers ont fini par coûter trop cher).
Mêmes les pays ne voulaient s’y opposer. Les pays industrialisés avaient intérêt à ce que le système leur soit favorable car une fois encore, un « pays », c’est une population subjuguée par les discours officiels et mis à contribution, de grosses entreprises qui alimentent ce système, et des dirigeants politiques qui entendent en profiter grassement. Un pays a un besoin vital des grosses entreprises pour l’argent qu’elles rapportent. Les entreprises ont un besoin vital des banques pour investir leurs fonds. Les banques ont un besoin vital des banques centrales pour opérer sur leurs secteurs respectifs. Donc les pays ont un besoin vital des banques centrales, donc des Rothschild: CQFD. Quant aux pays les plus pauvres, ils sont soumis à l’obligation d’emprunter au Fond Monétaire International pour rester à flot, lequel prête en monnaie de singe (en devises) mais exige un remboursement avec intérêts… en OR, ce qui affaiblit obligatoirement la monnaie du pays emprunteur… ce qui est le but
Pourquoi?
Pourquoi les puissants seraient-ils mauvais parce qu’ils sont puissants ?
Il ne s’agit pas d’être mauvais ou non. Il s’agit de tenir une réputation et une rentabilité dans un panier de crabes. Soit on est puissant et on respecte la règle du jeu instaurée ainsi (manger ou être mangé, tuer ou être tué), soit on s’en abstient. Ceux qui s’en abstiennent sont pauvres et faibles. Ceux qui s’y investissent sont forts et puissants. C’est tout. C’est soit une question d’arrivisme, soit une question d’éducation, soit les deux. Dans tous les cas, c’est une question de conscience, justifiant la nature même de l’Âge dit « de Fer », ou « Kali Yuga » (Humanité à la conscience collective désastreuse) dans lequel est né ce système et l’ayant permis, et l’effondrement enfin possible de cette logique aujourd’hui que nous sommes entrés en Âge de Diamant et aux portes du paradigme qui lui correspond enfin.
Pourquoi la loi ne punit-elle pas les gens qui au minimum enfreignent ainsi la loi ?
Parce que la loi est une vue de l’esprit. « Le législateur » est constitué d’Être Humains eux-mêmes corruptibles. Des experts embauchés par les entreprises qui en ont les moyens sont payés pour soudoyer et corrompre les politiciens afin que ceux-ci fassent voter les lois qui arrangent ces entreprises, leur permettant de pouvoir passer sous le radar de la justice. On appelle ces entreprises des « lobbies ». Certaines d’entre elles investissent des fortunes dans leurs activités lobbyistes, pour gagner de plus immenses fortunes encore. Les rôles se sont quelque peu inversés depuis quelques années. En effet, avant les lobbyistes allaient courtiser les politiciens. Désormais, ce sont les politiciens qui essaient de faire carrière pour pouvoir se faire courtiser par eux, ou courtiser eux-mêmes les lobbyistes, afin de pouvoir profiter de leurs avantages, en plus de leur salaire. La majorité des médecins fait de même, acceptant de somptueuses croisières payées par les laboratoires pharmaceutiques pour doper les prescriptions médicales en faveur de leurs produits, quoi qu’ils valent. D’ailleurs, ce ne sont pas des médecins qui conçoivent le programme de formation des étudiants en médecine, mais bien les laboratoires pharmaceutiques, qui finalement forment ainsi leurs futurs « dealers ». Les politiciens sont devenus des « politiciens à gages », et la médecine rassemble davantage de tueurs à gage que de thérapeutes sincères. Les politiciens aussi appartiennent au secteur public, comme les banquiers centraux, mais ils exercent une activité en faveur d’intérêts privés et sont payés pour ça, comme les banquiers centraux. D’ailleurs, il semblerait que le système ait oublié de considérer le lobbyisme comme du complotisme… !
Pourquoi la presse est-elle à ce point complice ?
La presse est détenue par une oligarchie à la solde du système et en constitue à ce titre l’un des rouages fondamentaux. Un journaliste n’est pas informé de tout ce qui se déroule en arrière-plan de l’industrie qui l’emploie, pas davantage que ne l’est un employé de banque ou un pharmacien. Mais pour le journaliste, celui-ci doit suivre des directives, notamment celles de son rédacteur en chef ou équivalent, lequel reçoit ses ordres du PDG, qui lui-même doit suivre les consignes du comité de direction, lequel est soumis aux exigences des actionnaires, lesquels exigent que l’organe de presse concerné soit rentable, ou que la rentabilité de leurs activités économiques annexes soit préservée, protégée, voire suscitée grâce à l’entretien, par la presse, d’une vérité de scène de théâtre qui les arrange en termes de rentabilité. Orienter l’opinion publique est l’une des sources de revenus les plus gigantesques, raison pour laquelle le journalisme est appelé, en France, le « quatrième pouvoir », les autres étant législatif, exécutif, et judiciaire.
Le rôle du journalisme, depuis longtemps, n’est plus d’informer, mais aucun organe de presse n’en a informé quiconque. Celui de la médecine (médecins, pharmaciens, OMS etc.) n’est pas de soigner. Celui de la politique n’est pas de gérer une population ou des ressources. Tout cela n’existe simplement que pour faire de l’argent, beaucoup d’argent, impliquant toutes les manipulations pour y parvenir (du marché comme des gens), sous couvert des plus nobles causes que l’on peut justifier par le simple fait que nous vivons tous dans une belle et grande démocratie, laquelle seule a permis un tel libéralisme dans l’expansionnisme économique. Il suffit pour s’en convaincre de voir à quel point n’existe en ce monde que ce qui est rentable. Des gens malades sont plus rentables que des gens en bonne santé par exemple. Donc tant qu’existera l’industrie… de la « santé », il y aura des gens malades. C’est pour cela que « soigner » vraiment quelqu’un, sur le long terme, est une preuve de dérive sectaire, comme le faire sans en avoir l’aval de la part de l’ordre des médecins, en tant qu’organe financé par l’industrie pharmaceutique, est un crime !
Pourquoi la justice ne s’empare-t-elle pas de telles affaires si elle est indépendante du pouvoir exécutif?
A noter que, pour la France, ce n’est plus vrai. La Justice a été annexée à ce pouvoir sous Emmanuel Macron, représentant un acte fondamentalement anticonstitutionnel, et passé parfaitement inaperçu comme d’habitude. En cela, et selon le droit constitutionnel français et la définition juridique en rapport, la France est devenue officiellement une dictature.
Mais la réponse à cette question est quasiment la même que celle à toutes les autres questions: « la Justice » est constituée par des hommes et des femmes, lesquels sont aisément corruptibles ou ne souhaitent pas exposer leurs familles aux menaces, ni n’ont particulièrement envie d’être décrédibilisés par la presse en laquelle la majorité des gens croit aveuglément.
En conclusion
La démocratie permet l’exercice de l’incommensurable pouvoir de l’argent. L’argent n’est pas issu du travail mais de la corruption. La corruption rend fortuné quand le travail permet de vivre, dans le meilleur des cas, sinon survivre. Le point faible de la démocratie est la corruption, laquelle permet qu’à partir de la démocratie, elle puisse passer de l’état de faille exploitable à celui d’institution, la dissolvant de l’intérieur de laquelle il ne reste finalement que la perversion et son illusion, pour en faire une ploutocratie d’abord, une lobbycratie ensuite. La démocratie est le régime le plus instable qu’il soit possible d’imaginer, et meurt quasiment plus vite qu’elle ne naît au profit de sa perversion, la faisant disparaître de fait.
Le pouvoir de l’argent est supérieur à n’importe quel autre pouvoir offert par ce monde, sans exception. Celui qui a l’argent et son pouvoir, et surtout celui de créer l’argent, a pouvoir sur tout le reste, journalistes, policiers, magistrats, militaires, politiciens, banquiers, présidents de république, roi… empereur!
Aujourd’hui, mais aujourd’hui seulement, car ce n’était pas le cas par le passé, un seul et unique statut a été capable de faire échec à ce pouvoir de l’Ennemi, le seul statut aussi qui ne soit pas sensible à la corruption du « pouvoir » de l’argent ou de n’importe quelle autre nature, lequel ne signifie rien dans ce contexte. Ce statut dépasse obligatoirement le contexte étriqué du mental humain pour embrasser un cadre infiniment plus vaste que la seule vision anthropocentrique propre à l’ancienne civilisation entropocène.
Après, si tous ces arguments ressemblent fort à du complotisme, eh bien peut-être est-ce tout simplement parce que la civilisation de laquelle nous sortons n’est finalement qu’un vaste complot, et qu’il a été plus simple, pour détourner le regard inquiet des populations de ce complot si vaste qu’on peine à l’imaginer, de les inciter à en rire… ou à craindre ceux qui tentent de le dénoncer, même si maladroitement parfois.
Apolytocratie en Âge de Diamant
Apolytocratie:
Du Grec « Apolytos » (Απόλυτος) : « Absolu », et « Kráti » (κράτη) : le pouvoir, en tant qu’autorité souveraine s’exerçant sur un peuple et un territoire déterminés.
On a fait miroiter aux peuples qu’il leur était possible de tenir leur destin entre les mains, de détenir le pouvoir sur leur vie. Mais force est de constater que le pouvoir, infiniment corrompt, que l’appât du gain et du pouvoir finit toujours par entamer les meilleures volontés. La « démocratie » a un jour été estimée comme la meilleure garantie d’équité, de justice, et de liberté pour tous, mais jamais dans l’histoire de cette Humanité, la démocratie n’est sortie du carcan du bel idéal dont on a convaincu les peuples qu’elle fut un jour appliquée. Chacun recèle en lui un côté obscur, quand bien même n’aurait-il jamais été placé face à lui, et assumer une position de « pouvoir » organise très vite le rendez-vous funeste et personne ne saurait y résister bien longtemps, du moins hors du climat de paranoïa qui s’empare alors de celle ou celui qui ne veut pas perdre ses propres acquis, ou qui craint pour sa vie face à ceux qui seraient moins vertueux et prompts à se saisir de sa place, quitte à en accélérer artificiellement la vacance…
Le monde des « institutions » ne fonctionne pas. Le monde des religions ne fonctionne pas, surtout lorsqu’on les place au rang des institutions précédemment citées. Le peuple est incapable de se gouverner seul, à moins que tous ceux qui le constituent aient d’autres attributions que celles de voter pour quelqu’un qui ira forcément contre leurs intérêts à terme (sauf extraordinaire exception). Le monde de l’argent ne fonctionne pas, tant que l’argent sera au-dessus des lois et qu’il existera des gens assez mal intentionnés pour manipuler les circonstances de manière à ce que les problèmes que les politiciens sont censés résoudre soient maintenus en l’état, ou rétablis dans leur problématique si une solution authentique et efficace devait y avoir été trouvée. Le monde du commerce ne fonctionne pas parce qu’il est intimement lié à l’argent, faisant que des entreprises privées parviennent à être grandement supérieures en puissance aux Etats eux-mêmes, et parce que pour faire de l’argent il faut vendre, et que pour vendre plus, il faut susciter davantage le marché, et que pour susciter le marché il faut créer le besoin. Lorsque qu’un besoin est satisfait il faut en créer un autre pour continuer à faire fonctionner le commerce. Lorsque tout les besoins à même d’être compensés par le commerce sont satisfaits, alors il faut tout détruire et recommencer. C’est ce qu’on appelle « l’économie de la destruction », l’économie de l’institutionnalisation du chaos. C’est ce monde-là qui ne peut fonctionner que par l’addiction, la peur, la haine et la méfiance, la privation, la maladie, et la mort. Donc ce monde-là ne fonctionne pas car il ne peut indéfiniment résister à ce régime.
Les prédateurs de l’Humanité s’en nourrissent en clamant perpétuellement que tout va bien. Jusqu’à présent, en effet, tout allait bien… pour eux. Mais la tendance a été inversée.
Le seul monde qui soit en mesure de fonctionner et de respecter l’ordre naturel des choses, tendant à ce que le Vivant éternellement prospère de manière inconditionnelle, implique le rétablissement de l’équilibre des forces. Pour enclencher le processus de ce rétablissement, il s’agissait d’extraire de sa mécanique de réalité les freins qui y avaient été posés pour influencer le cours de l’ensemble des événements visant à diriger les sources de prospérité vers un seul et infime segment de la population de ce monde: les détenteurs du pouvoir. Il fallut donc défaire les institutions et les remplacer par des organes de gestion de l’intérêt des individus et des populations afin de couvrir l’ensemble de leurs besoins au quotidien comme sur le long terme. Il fallut défaire le pouvoir des systèmes de croyance grâce auxquels ont été implantées dans l’esprit des peuples des aberrations mythologiques autour de l’existence indubitable de la plus haute et sage intelligence dans l’univers, laquelle permet à ce même univers d’assurer éternellement sa cohérence dans le parfait emboîtement des cycles naturels de la vie et de la mort, de la naissance, de la croissance, de l’acquisition de connaissances nouvelles, de la transmission de ces connaissances et de la disparition, avant réinitialisation de la conscience et sa renaissance sous une forme nouvelle pour effectuer un nouveau cycle d’existence, et cela à l’infini. Il fallut défaire le système financier fondé sur la dette ou les ressources limitées de la planète, afin d’éviter l’enlisement de tous ou le saccage du monde, mais fonder l’économie sur la coparticipation, l’incitation universelle à l’amélioration du bien-être de l’ensemble du vivant, en contrepartie des subsides requises à une vie confortable pour tous, mais emplie de défis bienveillants à relever pour une existence plus exaltante et stimulante pour tous et susceptible de profiter à tous, d’une manière ou d’une autre. La seule raison pour laquelle jamais aucune économie n’aura été fondée sur ce principe n’est exclusivement due qu’à la rapacité de la nature humaine et à sa faiblesse face à la perspective d’avoir plus, encore plus, toujours plus, et pour finir au détriment de tous. La surestimation de la valeur du commerce, érigée sur la base de la priorisation de la notion de profit et de rentabilité sur celle de la valeur humaine et du vivant au sens large, doit encore être défaite dans les esprits.
Afin de respecter ces mêmes conditions ci-avant énoncées et les faire perdurer, il faut défaire le système de segmentation des populations par nations politiques, soi-disant indépendantes, qui créent des particularisations et des conflits d’intérêts entre elles alors que tous les peuples sont UN sur un monde qui est UN et pourtant assez diversifié en soi pour que chacun puisse y vivre harmonieusement au lieu qui lui convienne le mieux, mais avec des conditions de vie strictement égales pour tous, quel que soit ce lieu. Personne n’aura jamais plus à devoir « aller ailleurs » dans l’espoir d’y trouver ce qui lui manque là où il se trouve (eau, nourriture, éducation, ressources techniques, travail, santé, etc.). Il faut donc défaire par la même le principe du pouvoir politique concurrentiel qui crée des affrontements entre populations autour du désir de la satisfaction, de la convoitise, face à l’évidence du déséquilibre entre ceux qui ont tout, et ceux qui n’ont rien.
Il faut instaurer la gouvernance de populations, exercée au moyen de gens ayant fait leurs preuves, et tirés au sort pour éviter les entreprises de séduction et de manipulations électorales; populations rassemblées par similitudes culturelles et linguistiques afin que chacun dispose des meilleures chances possibles de s’entendre avec autrui dans son environnement proche, mais alors en cultivant aussi l’ouverture à autrui, duquel nul n’aura plus à craindre quoi que ce soit, et auquel tous pourront paisiblement apporter le meilleur du partage de ce dont chacun disposera lui-même en contrepartie du meilleur de ce dont disposera autrui, tant au niveau individuel que collectif, tant au niveau cognitif que culturel, spirituel, ou en termes de ressources, lesquelles n’appartiendront jamais plus à quiconque, si ce n’est à la conscience de la planète, dispensées de sa part à tous avec générosité. Cette gouvernance doit être assurée dans l’esprit de cohésion qu’une nation politique distincte ne permet pas d’envisager, alors que concevoir une telle nation comme une simple « province » parmi d’autres, toutes constituantes, unies et solidaires, d’un plus vaste territoire unifié, un « royaume » fondé autour de la valeur du partage universel équitable et juste, est la manière la plus rationnelle et la plus humaine de l’envisager. Cette gouvernance-là rend cette possibilité quotidienne par le simple état d’esprit relatif au service, de la part de tous, des meilleures conditions possibles de vie pour tous: le Royaume planétaire de Terremère-Gaïa.
Cette conception du tout que représente un monde en soi, non divisé par les frontières, mais uni par le sentiment d’appartenir au même navire sur une immensité océanique cosmique, ne peut qu’assurer à ce même monde et tous ceux qui y appartiennent dans le même esprit de solidarité, le meilleur présent et le meilleur avenir possible, surtout en y plaçant, en absolue priorité, la qualité de la vie accordée à l’ensemble du vivant, plus que les profits ne revenant au final qu’à une seule poignée d’individus. Le tout doit être super-administré par une gouvernance synthétique ne prenant parti pour personne, si ce n’est pour l’intérêt de tous, ayant autorité sur toutes les autres gouvernances provinciales afin de garantir la probité de leur harmonieux ensemble, la justesse des lois, et la sécurité de tous, face à la menace de la perversion qui a toujours réussi à corrompre les mondes, quelles qu’aient été excellentes les dispositions des uns et des autres… au départ. Il faut une gouvernance infaillible là où l’Être Humain est faillible. Une gouvernance impervertible là où l’Être Humain est corruptible. Bienveillante, là où il est encore soumis aux soubresauts de son inconscient et de ses appétits, forte là où il exprime encore la faiblesse, aimante dans la Force, là où il exprime la convoitise, la rancœur, la jalousie ou le mépris. Une gouvernance assurée aussi en tant que rempart contre le retour de l’esprit de prédation. Une gouvernance assurée en tant que garante du maintien éternel de cette intégrité et des chances d’évolution saine et joyeuse, garantie à tous de manière inconditionnelle. Mais surtout une gouvernance qui soit, par ceux qui l’incarnent en priorité, un exemple vivant et constant de probité, d’honnêteté, de générosité, de grandeur, de loyauté, de noblesse, d’honneur, de bonté, de désintéressement personnel et de simplicité. Une gouvernance non oppressive, non-exclusive et ouverte à tous sans aucune forme de distinction préférentielle.
Une gouvernance supervisée par la Hiérodarchie: l’Apolytocratie, incarnée par le Couple Impérial d’une part, la Pracandhasenamukha d’autre part.
La victoire n'est pas le fait de prendre le dessus sur quelqu'un ou une situation. C'est un état intérieur, un état d'esprit qui vous mène là où vous l'avez rêvé correctement, soit-il au-delà de la frontière-même de l'impossible.
Le Hiérodarque
Dénonciation de la théorie de la surpopulation et des "surpopulationnistes"
Le chiffre de plus de sept milliards et demi d’individus qui peuplerait ce monde est avancé par (et uniquement par) l’ONU dans le but de promouvoir la thèse de la surpopulation mondiale face au manque potentiel de nourriture, afin de compenser le gaspillage d’une part, et de légitimer des mesures extrêmes, notamment économiques, visant à la hausse des prix des biens les plus élémentaires. La « théorie de la surpopulation » est née fin du XVIIIe siècle en Grande-Bretagne.
Voici une vidéo magnifiquement explicative et simplement illustrée de moins de cinq minutes, permettant de tout comprendre sur ce mythe, cette « théorie » fantasque en laquelle croient dur comme fer les adeptes du « surpopulationnisme »: Le Mythe de la Surpopulation Mondiale (4’58 sur Dailymotion – un VPN peut-être nécessaire en France):
Vidéo téléchargée depuis la chaîne Dailymotion tchels0o
C’est la voie de référence vers laquelle chacun peut expérimenter toute l’ampleur de sa liberté d’expériences de vie en se découvrant soi-même, sans les pièges habituellement omniprésents de l’illusion et des faux-semblants. Le théâtre d’une permanente découverte de soi-même quant à ce que l’on veut VRAIMENT, en tant que voie aussi d’accomplissement personnel, qui est le but fondamental de l’Archimagisterium, en tant que moyen organisationnel permettant à chaque individu en ce monde d’y parvenir, car y étant en permanence invité.