Un prix Nobel dénonce la fantaisiste théorie du réchauffement climatique

Comme chacun est censé le savoir aujourd’hui, les grands charlatans de la science à la solde des puissants, entre autres fadaises (à ce stade, il s’agit là d’une quasi nouvelle science, disons, la « fadaisologie » jusqu’à trouver un autre nom) ont émis la théorie selon laquelle l’activité humaine serait responsable d’un réchauffement climatique global. Réchauffement, il y a en effet, c’est indéniable, mais l’activité humaine n’y est pour rien, du moins, pour une part infinitésimale.

Le nerf de la guerre

Les scientifiques ont besoin d’argent, comme tout le monde. Il ne viendrait à l’idée de personne de leur reprocher d’en trouver où ils le peuvent n’est-ce pas?

Vous êtes-vous déjà demandé qui paie les scientifiques? Les États, la plupart du temps, déjà douteux par nature, mais pas toujours. Parfois l’armée (forcément sur le budget de l’État, éventuellement même à son insu). Mais il arrive aussi que ce soit des intérêts privés, lesquels, occasionnellement, paient même entièrement les études prometteuses d’un jeune futur scientifique talentueux s’il se fait remarquer, lequel leur est ensuite redevable à vie (de gré ou de force d’ailleurs). À ce niveau d’expertise, peu importe ce que l’on dit, dès lors que l’on peut arborer un diplôme d’État parfaitement officiel à l’appui de ses arguments, avec le soutien d’entreprises, dont certaines plus riches que certains États eux-mêmes.

Argument complotiste? Peut-être. Mais à la place des puissants ayant eu besoin d’assurer leurs arrières grâce à des voix officielles en lesquelles tous ont été éduqués à accorder leur confiance, n’auriez-vous pas fait de même, pour assurer les vôtres? Je vous accorde qu’il faut y penser. Ce genre de manipulations ne vient pas à l’esprit de tout le monde. Néanmoins, nous connaissons particulièrement bien ce milieu et savons pertinemment ce qu’il s’y ait pensé et envisagé, afin de créer nombre de pseudo-légitimités nécessaires à la réalisation d’opérations commerciales diverses et variées, ayant rapporté des millions, moins souvent que des milliards, à côté desquels les dépenses, nécessaires et superflus, de quelques étudiants en sciences physiques, en climatologie, en médecine, en pharmacologie, en nutrition, en chimie et bien encore d’autres disciplines clefs, ne sont que quelques gouttes dans l’océan du profit. Vous voulez un exemple? Les gains des laboratoires pharmaceutiques suite à la manœuvre du docteur Antony Faucy pour inventer une pandémie apocalyptique autour de la Covid-19.

Les meilleurs arguments du monde

Revenons-en donc au climat. Rappelons qu’à seul titre d’exemple, les États-Unis taxent leurs industriels les plus pollueurs. Ce n’est ni de la dissuasion ni de la répression. C’est un excellent moyen de se faire de l’argent supplémentaire en donnant le droit de polluer aux bons payeurs, lesquels se voient offrir des marchés juteux en contrepartie de leur précieuse collaboration financière, comme à l’entretien de la crédibilité accordée à la… fadaisologie. En outre, il a toujours été intéressant d’appuyer sur la corde de la culpabilité des peuples et des individus. En effet, si vous prenez votre voiture pour vous rendre sur votre lieu de travail, c’est que vous portez alors sur vos épaules une part de la lourde responsabilité de la destruction de notre planète, quand ceux qui prennent les décisions relatives aux conditions propres aux transports en commun, prennent toujours celles qui induisaient le plus d’insécurité et d’inconfort possible, alors que tous les inventeurs et surtout ré-inventeurs du moteur à eau ont tous été réduits au silence, d’une manière ou d’une autre.

Regardez large. Ce discours n’est pas dystopique. Cette civilisation humaine, elle, est effectivement dystopique. Inutile d’aller chercher dans la science-fiction pour en trouver les pires exemples.

Pour en revenir au climat, le site de l’Archimagistère avait soutenu en son temps un scientifique suisse qui avait attesté que l’évidence du réchauffement climatique n’étaient absolument pas dus à l’activité humaine, du moins pour une part effectivement infime. À cela, les journalistes du quotidien français « Le Monde » en charge de déterminer ce qui relève de la vérité (sorte de Ministère éponyme privé), avaient réagi à cet article par une mise en garde menaçante et un magnifique encadré rouge arborant la mention « FAUX » adressé traditionnellement aux hurluberlus comme aux complotistes inconscients des réalités. Ils étaient parvenus à mettre en cause la respectabilité scientifique de la personne ayant osé s’aventurer hors des sentiers de la pensée unique de la transparente bien que pourtant ferme dictature démocratique.

Aujourd’hui que les choses ont fort heureusement bien changé, même si le fait ne se révèle pas encore aux yeux de tous au même degré d’évidence, nous sommes heureux de constater que la relève est assurée par des individus d’envergure. Nous ne jouons plus dans la même cour. Là, il s’agit de John Closer, prix Nobel de physique 2022 qui le dit: « Je peux affirmer en toute confiance qu’il n’y a PAS d’urgence climatique. Même si cela dérange beaucoup de gens, mon message est que la planète n’est PAS en péril (…) le CO2 et le méthane atmosphériques ont un effet négligeable sur le climat« .[1]

Les fadaisologues, car il en existe encore pas mal, ont beaucoup, vraiment beaucoup de soucis à se faire. Nous comprenons qu’il soit particulièrement difficile de se défaire d’habitudes anciennes de décennies. Mais la vérité factuelle propre aux événements ne saura jamais plus souffrir ni entorses, ni compromissions, pour des intérêts tiers qui entreraient en conflit avec elle.

Conclusion

Ce monde doit encore faire illusion jusqu’à ce que les peuples et les individus apprennent à se défaire de leur addiction à la fadaisologie. Mais nous y sommes presque. Les événements, tels que cette déclaration de John Closer, en témoigne favorablement, car nul n’a requis de sa part de s’adresser aux gens en les termes de cette déclaration, contrairement aux bons payeurs du passé.


[1] Texte original de la déclaration, en anglais: « As much as it may upset many people, my message is the planet is NOT in peril. … atmospheric CO2 and methane have negligible effect on the climate.
The policies government have been implementing are total unnecessary and should be eliminated. So far, [we] have totally misidentified what is the dominant process in controlling the climate, and all of the various models are based on incomplete and incorrect physics.
The dominant process, is the cloud-sunlight-reflexivity thermostat mechanism. Clouds are all bright white, and they reflected 90% of the sunlight back into space making them the most crucial yet most overlooked aspect of the climate system.
Two-thirds of the Earth are ocean. The Pacific Ocean alone is half the Earth. The average cloud cover for the Earth is 67%; about 50% over land and 75% over oceans.
I claim that the above conspicuous properties of clouds are the missing part of the puzzle.
I can very confidently assert, there is no climate emergency ».

Traduction en français: « Même si cela dérange beaucoup de monde, mon message est que la planète n’est PAS en péril. … le CO2 et le méthane atmosphériques ont un effet négligeable sur le climat.
Les politiques mises en œuvre par les gouvernements sont totalement inutiles et devraient être supprimées.
Jusqu’à présent, nous nous sommes totalement trompés dans l’identification du processus dominant qui contrôle le climat, et tous les modèles sont basés sur une physique incomplète et incorrecte.
Le processus dominant est le « mécanisme de thermostat nuage-lumière solaire-réflexivité.
Les nuages sont tous d’un blanc éclatant et ils réfléchissent 90 % de la lumière du soleil dans l’espace, ce qui en fait l’aspect le plus crucial et pourtant le plus négligé du système climatique.
Les deux tiers de la Terre sont constitués d’océans. L’océan Pacifique représente à lui seul la moitié de la Terre. La couverture nuageuse moyenne de la Terre est de 67% ; environ 50% sur les terres et 75% sur les océans.
J’affirme que les propriétés remarquables des nuages mentionnées ci-dessus constituent la partie manquante du puzzle.
Je peux affirmer en toute confiance qu’il n’y a pas d’urgence climatique ».

Source: https://twitter.com/robinmonotti/status/1786671832080208320

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