La reine est morte. Avec votre permission, nous dirons cela comme ça : Madame Windsor est morte. Ce sera bien suffisant. Le 3 juin 2015, la BBC annonçait son décès. Cette mort n’était pas inopinée puisqu’un ensemble d’actions avait été effectué par un collectif important de personnes mobilisées parmi les Archalchimistes aux fins de lutter contre la malfaisance de la toile d’araignée que représentait la Couronne d’Angleterre à l’époque. Un fil précis de cette toile avait été touché (un hasard, une inadvertance, ou une intuition, mais quelque en fut la raison, elle n’était pas assortie d’une intention particulière, il est vrai), et la réaction fut immédiate. Deux individus ont alors été directement touchés suite à cette action. Le prince Harry, et la reine (une chance sur mille). Cette dernière, frappée de plein fouet, a succombé. Deux jours plus tard, l’information fuitait hors de la BBC. Évidemment, il fallait réagir. “L’empire” britannique en aurait été déstabilisé. Ce n’était pas du tout prévu au programme. Fort heureusement, la presse mondiale, contrôlée par seulement cinq individus, nous le rappelons (de confession sioniste, forcément) et aux ordres du pouvoir alors en place, pouvait faire scénariser la bévue pour la maquiller en erreur. La Terre entière goberait ce qu’on lui dirait, comme d’habitude, malgré la confirmation du fait par certains membres de la famille royale. En effet, le monde journalistique a pris, depuis longtemps, l’habitude de tout répéter en boucles, encore et encore. Ainsi, ce qui n’est déclaré qu’une seule fois est oublié, ou n’existe tout simplement pas, ou les deux.
Un article intitulé “La reine est morte, vive la suite”, avait été publié sur le blog aujourd’hui disparu de la Société des Archalchimistes, pour expliquer ce fait. Le sosie d’Elisabeth Windsor, parfaitement formé à son rôle, forcément, a donc été mis en place. Dès ce jour, “la reine” s’est mise aux pantalons, après toute une vie passée à porter des jupes. Ce n’est qu’un détail me direz-vous, mais lorsqu’on cache quelque chose, c’est souvent, pas toujours, mais souvent, qu’il y a effectivement quelque chose à cacher. Peu importe quoi, “la reine” devenue un pion, par avis contradictoire de dernière minute de la part du “pouvoir mondial”, la couronne britannique pouvait ainsi, sans être trop décontenancée, continuer à exercer son contrôle quasi-absolu de la planète financière, et aussi, de proche en proche, de la civilisation humaine, du moins jusqu’à ce que nos forces interviennent et investissent la place de la manière la plus inattendue qui soit.
Que la disparition du sosie de la reine va-t-elle changer?
En fait, pas mal de choses. D’une part, la presse, aujourd’hui, nous le répétons, sous absolu contrôle de la Pracandhasenamukha depuis la fin du mandat présidentiel de Donald Trump (pour donner un repère dans le temps), a lâché l’information car il était temps de mettre fin au règne de cette royale infection, tant dans une forme simulée de réalité que dans les esprits des populations. Pourtant, ce n’est pas tout. Cette fin coïncide avec celle de l’ancien paradigme, tenu d’une main d’acier par l’Angleterre. C’est un signe majeur de l’évolution des choses dans le sens attendu par tous. Mais surtout, ce qui corrobore l’argument précédent, si la plus emblématique reine du monde disparaît, c’est pour laisser place à LA seule et unique Reine qui règnera jamais en ce monde à partir de maintenant… L’Adishaloriss, épouse du Hiérégal, constituant à eux deux le Couple Sacré, UN, indivisible et sans second, le cœur même de la Hiérodarchie, lui-même placé au cœur de la nouvelle Gouvernance, libre et ouverte, au Royaume de Terremère-Gaïa: l’Archimagisterium.
La réunification et l’union officielle du Couple Sacré sont à présent imminentes. Elles seront dûment annoncées le moment venu. La Reine se prépare, et son règne, de corps en corps, n’aura pas de fin. Le soi-disant nouveau « roi » Charles III donne encore le change durant quelques semaines, mais il s’agit là d’un règne fantoche. Il n’est ni rien ni personne, et n’accède ainsi au trône que parce qu’il en a reçu l’autorisation, avec lourdes menaces à l’appui en cas de dérapage. Il n’est sans doute pas encore temps de le clamer si fort, néanmoins nous ne résistons pas au plaisir de le faire :
La “reine” est morte. Vive la Reine!
Crédit photo: agence Reuter – Toby Melville