Ces derniers jours, la presse française reprend allègrement les extraits marquants des déclarations au ton très solennel du Président Macron, indiquant une montée en puissance du discours alarmiste en multipliant les termes impactants, mais semblant parfois mal appropriés, en décalage avec le reste du discours… Cela ne vous rappelle rien?
Ce n’est pas la première fois, en effet, que le ton et les mots employés par ce représentant officiel du pouvoir nous surprennent et raisonnent bizarrement pour tous ceux qui prennent le temps de les écouter. Rembobinons donc le film au printemps 2020.
Deux déclarations d’Emmanuel Macron marquaient alors les esprits. Rappelez-vous cette interview d’avril 2020, à reconsidérer en seconde lecture à la connaissance des événements récents, actuels et prévisibles. Il y déclarait sur un ton très solennel:
« Je crois que notre génération doit savoir que… la Bête de l’Evènement est là! Et elle arrive ! (…) Il faut la combattre quand elle arrive avec ce qu’elle a de profondément… inattendu, implacable« .
Sachant qu’il était alors dévoué corps et âme à ses maîtres les Rothschild, ceux-ci l’ayant fait élire à 66.06 % en 2017 alors qu’il était inconnu de tous ou presque (exploit unique depuis le début de l’histoire des cinq républiques), quelle « Bête » devait-il donc combattre ainsi?
Un mois auparavant, en mars 2020, il nous faisait déjà une annonce très solennelle :
« Nous sommes en guerre (…) Nous ne luttons ni contre une armée, ni contre une autre nation, mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse, et cela requiert notre mobilisation générale« .
Pensez-vous vraiment, avec le recul, qu’il aurait employé une telle terminologie pour un virus, si malin soit-il?
Vous l’aurez compris grâce à notre dernier article du 25 août « changement de marionnettiste« , lorsque le serviteur des Rothschild s’exprimait alors et parlait de la Bête inattendue et implacable à combattre, de l’ennemi invisible, insaisissable qui progresse, il parlait de… la Pracandhasenamukha.
Que s’est-il passé depuis ?
Dans la nuit du mercredi 24 au jeudi 25 mars 2021, des « explosions » autour de l’Élysée ont été entendues par des dizaines de riverains.
L’Elysée a été pris par ses sous-sols. Emmanuel Macron n’est plus aux commandes depuis…
La Pracandhasenamukha l’a soumis à l’obligation de prendre position (comme elle l’a fait envers tout le monde):
« Entre mourir pour votre cause et rallier le camp des vainqueurs, que choisissez-vous? ».
Sa réponse a été sans appel, il est décédé en mai 2021 d’une septicémie foudroyante.
L’actuel « Macron » visible aujourd’hui sur vos écrans est tantôt un hologramme digitalisé (très pratique), tantôt un officier de l’armée de Terre jouant l’acteur, quasi-sosie de l’original.
Tout le monde autour de lui a fait consensus, donc influence, pour faire en sorte que ce changement physique soit ignoré. Mais les différences sont bien là (par exemple le menton) et les photos comparatives qui ont circulé depuis confirment les défauts de ressemblance.
La dernière « élection », aux résultats incompréhensibles pour beaucoup d’observateurs avertis, qui a « élu » à 58% le personnage « Macron » alors que sa côte de popularité était catastrophique depuis longtemps, était également le fait des Tvish, conservant en place ce relais public pour préparer la population aux changements à venir.
A la lumière de ces changements opérés dans les coulisses, revenons à ces derniers jours, ce vendredi 19 août, à l’occasion du 78e anniversaire de la libération. Emmanuel Macron nous a fait en fin de discours une annonce très solennelle reprise dans tous les médias:
« Je pense à notre peuple auquel il faudra de la force d’âme pour regarder en face le temps qui vient, résister aux incertitudes, parfois à la facilité et à l’adversité et, unis, accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs ».
Les analystes politiques comme Arnaud Benedetti ont bien interprété l’intention générale de ce que voulait dire Emmanuel Macron: « Le chef de l’État maintient un storytelling, prépare par ses interventions l’opinion publique aux difficultés et aux épreuves qui semblent arriver ».
Mais un chef d’Etat utiliserait-il vraiment l’expression « Force d’âme pour regarder en face le temps qui vient » si cela ne concernait que des factures salées à venir?
En prenant le temps d’une seconde lecture, on réalise alors qu’il pourrait préparer les Français à quelque chose de bien plus grave à venir, s’adressant à un inconscient collectif interprétant correctement les sous-entendus et la profondeur de certains mots, alors que le mental rejette cette idée si dérangeante.
Pour toute personne informée des exactions d’organisations occultes sur l’Humanité et leur contrôle endémique sur les Etats, la suite de son discours semble apporter d’autres éléments véridiques surprenants:
« Oui, les fantômes de l’esprit de revanche, les violations flagrantes de la souveraineté des Etats, l’intolérable mépris des peuples, la volonté impérialiste ressurgissent du passé pour s’imposer dans le quotidien de notre Europe, de nos voisins, de nos amis ».
Le 23 août, Le président français s’est exprimé dans un message vidéo lors du sommet de la plate-forme de Crimée:
« Nous ne pouvons (…) avoir aucune faiblesse, aucun esprit de compromission, parce qu’il en va de notre liberté à toutes et à tous, et de la paix dans toutes les parties du globe ».
Ne serait-ce pas les mots si spécifiques au caractère des membres de la Pracandhasenamukha, s’exprimant là par l’intermédiaire de sa marionnette publique? Le 24 août, en préambule (exceptionnellement filmé) au conseil des ministres, le message solennel devient parfaitement clair:
« Je crois pour ma part que ce que nous sommes en train de vivre est de l’ordre d’une grande bascule ou d’un grand bouleversement… ».
Ces multiples allocutions du personnage public « Emmanuel Macron » et leur relais dans tous les médias contrôlés par le nouveau marionnettiste, font donc partie d’un plan visant à préparer les français à ce qui s’en vient. L’Humanité toute entière, par différents canaux, est ainsi déprogrammée de sa résistance à adhérer à l’idée de la défaite de l’Ennemi, afin de pouvoir entrer de plein pied dans le nouveau paradigme, mais de manière mentalement cohérente, d’où cette nécessité reprise par la marionnette aux ordres de la Pracandhasenamukha, relayant la nécessité imminente « d’accepter de payer le prix de notre liberté et de nos valeurs »!
Vidéographie:
Le discours d’Emmanuel Macron à Bormes-les-Mimosas en intégralité :
https://youtu.be/L9GLGC8i3g8?t=1093
Interview d’E Macron par le Financial Times en avril 2020:
https://youtu.be/DPGfKhCICC0?t=1058
Annonce de mars 2020, « nous sommes en guerre » :
https://www.youtube.com/watch?v=5wYyJckGrdc
Remarque:
Veuillez noter que l’Archimagisterium ne donne aucunement sa caution à l’image figurant en milieu d’article, laquelle n’y a été placée qu’au titre de l’illustration des propos tenus, et non à celui d’une quelconque validation sous quelque forme que ce soit de la preuve potentielle qu’elle est susceptible de pouvoir représenter à quelque titre que ce soit.
Merci pour cette information; ça met du baume au cœur aux guerriers usés que nous sommes…